Iéna, Wagram, Austerlitz… Les victoires militaires de Napoléon sont connues. Mais, êtes-vous intéressé par l’analyse de son palmarès de séducteur ? Qu’en est-il de ses conquêtes féminines ? On dit que derrière un grand homme se cache une grande femme. Derrière Napoléon, qui n’était pas si petit, se cachaient plein de femmes !
Devenu maître de la France, il suffisait à l’ancien petit maigre corse d’un regard pour obtenir un consentement féminin. Et une chose est sûre : il n’a pas négligé cet avantage.
Dans cet article, je vous liste les femmes et les maîtresses qui ont le plus compté dans sa vie. Débutons par la plus importante.
Les femmes conquises par Napoléon en vidéo !
Durée de la vidéo : 21 minutes
Joséphine de Beauharnais
Joséphine est l’amour de sa vie. Elle est sa Brigitte. Il la rencontre en 1795. Elle est alors la veuve du vicomte de Beauharnais, guillotiné un an plus tôt pour trahison à Paris. Elle a déjà deux enfants : Hortense et Eugène.
Quant à Napoléon, il vient juste de devenir un personnage important. Il a contré une insurrection royaliste et a été nommé général en chef de l’armée de l’intérieur. Son avenir semble prometteur, surtout pour une femme comme Joséphine.
Flairant le bon poisson, Joséphine tombe amoureuse de sa bourse, de son prestige, de sa destinée et peut-être, un peu, de lui.
Le couple se marie le 9 mars 1796.
L’image populaire fait de Joséphine une femme beaucoup âgée que Napoléon. Néanmoins, cette différence d’âge n’est pas énorme puisqu’ils n’ont que 6 ans d’écart.
Très vite, Napoléon est un amoureux passionné. Il ressemble un peu au mec puceau qui se fait déniaiser par une femme expérimentée et en devient fou amoureux, alors que tous ces potes lui disent qu’elle est une mauvaise idée. D’ailleurs, sa propre famille n’aura jamais de bons sentiments envers Joséphine. Ils ont vite senti la michto !
Quant à Joséphine, elle sait ce qu’est la vertu, mais s’en fiche totalement. Elle aime plaire et elle n’est jamais contre un nouvel amant. Elle avait trompé son mari et fait vite la même chose avec Napoléon.
Quand Napoléon part pour se battre en Italie pour la gloire de la France, elle ouvre ses portes à d’autres hommes pour la gloire de son plaisir personnel. Napoléon lui envoie plein de lettres, tantôt pour l’aimer, tantôt pour l’insulter puisque les infidélités de Joséphine lui parviennent. Certaines de ces lettres sont pathétiques et ne ressemblent guère au futur Empereur.
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Puis, la situation se renverse au fil des années. Joséphine n’est plus de la première fraîcheur, et les succès et le charisme de Napoléon attirent les autres femmes. Le cocu des premiers jours est désormais le goujat du couple. Il se cache à peine pour tromper Joséphine. Elle pleure, elle fait des crises, et surtout, elle craint d’être quittée et de perdre tous ses avantages.
Une forme d’amour semble perdurer. Joséphine reste fascinante. La beauté peut partir avec les années, la classe demeure. En plus, ses amitiés et ses connaissances des hautes sphères politiques de la France seront toujours précieuses pour Napoléon.
En 1804, Napoléon devient empereur et Joséphine, impératrice. Joséphine a alors 41 ans et ses limites biologiques vont décider de la fin de la relation. Napoléon veut un fils et la GPA n’existe pas encore. Son attachement pour Joséphine l’a longtemps fait hésiter, mais il sait qu’il n’est pas éternel. Il a besoin d’un fils pour continuer son œuvre, et éviter que la France retombe dans le chaos à sa mort. Joséphine ne pouvant plus enfanter, la suite est inéluctable.
Le 15 décembre 1809, le divorce est prononcé. Tous les proches de Napoléon jubilent. Il s’est enfin débarrassé de sa vieille femme usagée. Lui ne fait pas la fête, il est réellement attristé de perdre son premier amour.
Jusqu’à la fin de sa vie, Napoléon gardera de l’affection pour cette femme qui a tant compté pour lui. Même après le divorce, il lui donne beaucoup d’argent. Habituée à dépenser sans compter l’argent qu’elle n’aura jamais gagné à la sueur de son front, Joséphine en profite sans retenue jusqu’à sa mort en mai 1814.
Marie Louise d’Autriche
La seconde femme officielle de Napoléon est Marie-Louise d’Autriche.
Marie-Louise d’Autriche est tout l’inverse de Joséphine. Joséphine était une jolie femme au palmarès fourni, capable de vous emmener au septième ciel, mais elle était intéressée et volage.
Marie-Louise est plutôt une ingénue issue de la noblesse autrichienne qui a épousé Napoléon, car c’était son devoir. Elle n’a alors que 18 ans, et l’Empereur a déjà 40 ans.
Il aime cette différence d’âge et cette lignée. Lui, que l’on insultait de « Paille au nez » à l’école, car son nom prononcé avec l’accent corse ressemblait à cette expression, est désormais le propriétaire d’un beau cheval racé : une Hasbourg ! Il est tellement excité qu’il couche avec elle avant même le mariage officiel.
Le lendemain, tout heureux et romantique comme un routier, Napoléon dit à son aide de camp : « Mon cher, épousez une Allemande, ce sont les meilleures femmes du monde, douces, bonnes, naïves et fraîches comme des roses ! »
Avec elle, il retrouve une partie de sa jeunesse. Marie-Louise a de l’affection pour Napoléon, même si elle n’aime pas vivre en France, un pays qui a fait guillotiner sa tante, Marie-Antoinette, l’épouse de Louis XVI.
Elle remplit parfaitement son rôle de ventre puisqu’elle donne naissance à un garçon moins d’un an après son mariage. Napoléon est fier de son fils dès le premier jour. Mais, rien ne dure, tout passe. Le bonheur se maintient seulement quelques années.
Puis, Napoléon connait des revers décisifs sur les champs de bataille. L’Empereur est déchu et exilé. Marie-Louise est retournée auprès de son père en Autriche, avec son fils.
Comment peut-on lui en vouloir d’être apeurée par la France, ce pays qui coupe les têtes à chaque changement de régime ?
Selon sa correspondance, elle a semblé vouloir rejoindre Napoléon sur l’île d’Elbe. Puis, son désir change vite. À peine adulte, habituée au confort des palais, elle n’est pas une épouse capable de vous suivre dans la banqueroute et l’humiliation.
Cinq mois seulement après son départ de France, Napoléon redevient un cocu. Un Empereur sans empire est un mari sans intérêt. Marie-Louise devient l’amante du comte de Neipperg.
Elle s’éloigne définitivement de Napoléon. Il ne reverra jamais ni sa femme ni son fils.
Marie-Louise se remariera deux fois : la première avec le comte de Neipperg, puis une seconde fois avec Charles-René de Bombelles.
Joséphine et Marie-Louise sont les deux femmes officielles de Napoléon. À côté de ces relations, il a multiplié les maîtresses et a eu d’autres enfants. Celle qui lui a témoigné le plus d’amour est probablement Marie Walewska.
Marie Walewska
Marie Walewska est une jolie noble polonaise. En 1806, à vingt ans, elle rencontre Napoléon. Son armée occupe le territoire et il est vu comme le Français qui va enfin rendre la Pologne aux Polonais.
Elle n’est pas célibataire, puisqu’elle est mariée à un comte qui a 40 ans de plus qu’elle. Il en faut plus pour arrêter Napoléon. À l’apogée de sa gloire, il obtient ce qu’il demande, et la petite Marie est clairement un butin qu’il convoite !
Il lui fait la cour, lui envoie des lettres et elle finit par accepter de devenir sa maîtresse. Son mari accepte également la situation. Entre nous, je ne suis pas sûr qu’il avait le choix !
Elle passe alors près de 3 mois avec Napoléon. On la surnomme la « femme polonaise » de Napoléon. Une telle jeunesse dans son lit doit lui changer de sa vie de vieux avec Joséphine.
Marie est une amante et une patriote efficace. Entre quelques prouesses dans le lit, elle milite pour l’indépendance de la Pologne. Il est d’ailleurs logique de penser que son militantisme a au moins joué un petit rôle dans la création du Duché de Varsovie en 1807.
La romance dure et Marie suit l’Empereur jusqu’à Paris. Elle donne naissance à un fils nommé Alexandre, le 4 mai 1810. Alexandre Walewski aura une belle vie puisqu’il est mort à 58 ans, après avoir occupé des postes de ministre et sénateur sous Napoléon III.
Même si les deux tourtereaux finissent par ne plus entretenir une relation suivie, Marie Walewska reste une fidèle de Napoléon. Elle le surprend en lui rendant visite alors qu’il est exilé sur l’île d’Elbe. Voir cette femme et son fils sont un grand réconfort.
Elle se remarie en 1816 avec d’Ornano, un général de l’armée de Napoléon. Malheureusement, elle meurt un an plus tard à 31 ans seulement, après un accouchement difficile.
Éléonore Denuelle de La Plaigne
Continuons avec une autre maîtresse : Éléonore Denuelle de La Plaigne.
Elle est une amie de Caroline Bonaparte, la plus jeune sœur de Napoléon. C’est grâce à elle qu’Eléonore rencontre l’Empereur.
Éléonore est jolie et n’est pas prude. À 18 ans, elle devient l’amante du mari de Caroline, Joachim Murat. Avec des amies comme elles, vous n’avez pas besoin d’ennemis !
Puis, Murat lui conseille le lit de Napoléon. Elle ne le contredit pas. Elle est pourtant encore mariée à un capitaine nommé Revel, un homme qui n’est ni bon citoyen ni bon mari.
Ses parties de jambes en l’air avec Napoléon portent leurs fruits.
Elle accouche d’un fils appelé Charles Léon en décembre 1806. Napoléon est son père. Toutefois, il ne veut ni de cette femme ni de ce fils. Il aide à l’éducation du fils, mais ne fait pas plus. Cette aide est déjà généreuse puisqu’il aurait très bien pu les renier sans sourciller.
Sans rentrer dans le cœur de l’Empereur, il est facile de comprendre qu’elle était pour lui un bon petit coup, mais pas un amour tel que Joséphine.
Elle est la première des petites coquines de cette liste et pas la dernière. L’Italienne Grassini est la suivante.
Giuseppina Grassini
Giuseppina Grassini est une chanteuse d’opéra. En 1800, elle performe devant lui. Napoléon qui n’est pas encore empereur a l’oreille musicale et le zizi réveillé. Elle devient rapidement sa maîtresse. Il ne veut pas l’oublier en rentrant à Paris et elle le suit dans un premier temps dans la capitale.
Sa carrière d’artiste la fait visiter l’Europe, et probablement les slips de beaucoup d’hommes puissants. Mais, elle revient fréquemment à Paris où Napoléon la retrouve avec plaisir.
La relation n’est pas assidue. Napoléon a d’autres conquêtes à satisfaire et entre ses petites jouvencelles de 20 ans et une Giuseppina qui a déjà dépassé la trentaine depuis plusieurs années, il fait un choix d’homme : la viande la plus fraîche !
Il n’est pas avare pour autant puisque l’Italienne profite de revenus généreux à chaque fois qu’elle chante à Paris.
Elle ne le remerciera pas plus tard. Alors que Napoléon aurait aimé la voir à l’île d’Elbe, elle privilégie l’autre camp. Telle Coco Chanel, Madame ne suit pas les idées, mais les vainqueurs. Elle devient la maîtresse du duc de Wellington, l’homme qui a battu Napoléon à Waterloo en 1815. Quelle trahison !
Mademoiselle George
Une autre artiste a su séduire Napoléon : Mademoiselle George. Son nom de naissance est Marguerite-Joséphine Weimer.
La beauté de Mademoiselle George séduit tout Paris. Quand Napoléon la met dans son lit, elle n’a que 16 ans.
Toutefois, ne pensez pas qu’il est son premier amant. Elle a déjà connu plusieurs hommes, y compris Lucien Bonaparte, le frère de Napoléon. Ce dernier ne semble pas perturbé par le fait de mettre sa graine dans le même panier que son frère.
Napoléon la surnomme Georgina. Malheureusement, Mademoiselle George est trop bavarde. Elle aime dire à tout le monde qu’elle est la maîtresse du Premier Consul. Il n’est pas compliqué d’imaginer qu’elle a dû raconter plein d’autres détails intimes.
Face aux commérages, Napoléon finit par arrêter la relation. Grand seigneur, il lui file pour la récompenser lors de leur dernière rencontre, une liasse de billets qu’il glisse dans sa gorge.
Cela ressemble davantage à une strip-teaseuse avec son client qu’à une relation romantique du XIXème siècle, mais l’histoire ne se juge pas !
Pour l’anecdote, elle sera aussi la maîtresse du tsar de Russie. C’est à se demander si les femmes les plus jolies de l’Europe ne ressemblaient pas aux joueurs de foot actuels. Les puissants se les payaient temporairement, et elles changeaient de lits comme Cristiano Ronaldo a changé de clubs.
Elle gardera un attachement fort à l’Empereur, même si sa fin est assez pathétique. A partir de 1830, elle a vieilli et est devenue grosse. La grossophobie est un mot inconnu à cette époque. Un gros a une seule utilité : faire rire !
Celle qui était auparavant considérée comme la plus grande actrice de son époque est moquée. Des journaux écriront un jeu de mots super sympa « C’est assez, cétacé. ». En plus, elle se plaint d’être régulièrement insultée de baleine dans la rue. On a peut être retrouvé les ancêtres des haters des réseaux sociaux.
Mademoiselle George finit sa vie pauvrement et meurt à 79 ans en 1867.
Pauline Fourès
Pauline Fourès est une autre maîtresse célèbre de Napoléon. Elle est d’ailleurs l’une de ses premières. Elle le rencontre en 1798 lors de la campagne d’Egypte. Elle n’a pas 20 ans et est la femme de Jean-Noël Fourès, un officier de l’armée napoléonienne.
Le pauvre, il a emmené sa femme en Égypte pour la garder avec lui et elle le trompe avec son chef !
Au départ, Napoléon envisageait de prendre pour maîtresse des Égyptiennes, mais l’apparence physique de ces femmes exotiques ne l’excite pas. Il jette son dévolu sur Pauline qui refuse ses avances.
Napoléon se comporte alors comme une ordure. Il prétexte une mission importante pour renvoyer prestement son mari en France. Le mari parti, il est temps de le rendre cocu. Les cadeaux offerts et l’insistance de Napoléon portent ses fruits. Le « Me too » n’est pas d’actualité. Les forceurs sont à la mode et rien ne résiste à Bonaparte ! On peut aussi dire que la petite, sans son mari et dans un pays inconnu, avait probablement envie de s’amuser un peu…
Quand Jean-Noël Fourès revient et apprend la situation, il enrage et demande le divorce. Pauline reste aux côtés de Napoléon. Il l’appelle sa « Clioupatre ». Dans le classement des surnoms pourris donnés à une femme, celui-là est bien classé !
La liaison se termine quand Napoléon rentre en France en 1799. Une partie de l’armée reste en Egypte. Pauline fait de même et entame une relation avec le général Kleber.
Elle se mariera ensuite avec un officier retraité, Pierre-Henri Ranchoux, que Napoléon placera quelques temps comme consul en Espagne.
L’excentricité de Pauline est légendaire. À la fin de sa vie, elle possède des singes en liberté dans son appartement, fume à sa fenêtre et va à l’église en apportant son chien. Elle a mené une vie de femme libre. Elle a même tenté une émigration au Brésil. Elle a vu plus de pays que la majorité de Français, alors que l’avion et les congés payés n’existaient pas !
Je rajoute qu’il paraît que les femmes un peu folles sont les meilleurs coups possibles au lit. Seul Napoléon, et les quelques dizaines d’hommes qui sont passés sur Pauline, pourraient nous le confirmer !
Je termine par une maîtresse qui est loin d’être la plus importante, mais qui est la dernière. Alors que Napoléon n’était plus qu’un souvenir, il trouvait tout de même des amantes !
Albine de Montholon
Albine de Montholon est l’épouse de Charles-Tristan de Montholon. Cet homme est un général fidèle de Napoléon. Il prénomme même ses deux premiers fils, Tristan Charles François Napoléon et Napoléon Charles Tristan. Oui, il utilise les mêmes prénoms dans le désordre. Ne croyez pas qu’il est un original. Ce n’est pas rare à l’époque.
J’ajoute qu’il appelle aussi sa fille née en 1816, Napoléone. Sur une fille, le prénom est clairement dégueulasse !
Quand Napoléon est exilé à Sainte-Hélène, Montholon est l’un des rares à accompagner l’empereur déchu dans sa dernière demeure. Pour le récompenser, Napoléon se tape sa femme. Tout simplement.
En même temps, dans le trou perdu qu’est l’île, il n’y a que ça à faire. Les officiers français présents couchent avec des prostituées. Napoléon est trop fier pour s’abaisser à ce niveau. Il préfère Albine de Montholon qui a 37 ans. Ce n’est pas le meilleur lot, mais Napoléon l’assume puisqu’il dit « J’ai été habitué à vivre avec des femmes trop gracieuses pour ne pas voir les ridicules et mauvaises manières de Mme de Montholon ! Mais, enfin, ici, il faudrait faire sa société d’une perruche si on n’avait pas autre chose… ». Quelle classe impériale !
Pour son travail, Albine est récompensée d’un salaire équivalent à celui de son mari. En plus, quand la liaison prend fin et qu’elle repart en France, elle reçoit une petite fortune. Elle obtient une somme de 140 000 francs, plus 60 000 francs de plus par an, alors que le revenu moyen est de … 1000 francs par an ! Il faut ajouter, et oui cela ne s’arrête jamais, deux millions de plus lors de la mort de Napoléon en 1821 !
Soyez honnête. À la place du mari, auriez-vous fermé les yeux sur votre cocufiage si celui-ci vous rendait aussi riche ?
Cette dernière maîtresse et ces derniers chiffres nous permettent de conclure avec plusieurs constats. Napoléon était un homme puissant. Cela signifie que puissant, il séduisait toutes les femmes et qu’homme, il les voulait presque toutes.
Ces dernières n’étaient pas des idiotes ou des victimes d’abus sexuels. Certaines d’entre elles tombaient sous son charme et seront loyales jusqu’au bout, mais la plupart d’entre elles se vendaient sans vergogne. Napoléon les rendait riches et célèbres.
Avec l’argent acquis par son génie, et le sang de ses soldats sur le champ de batailles, il pouvait s’acheter l’amour. En plus, comme les mariages, les divorces et les adultères évoqués précédemment le laissent penser, la morale chrétienne et la fidélité des époux étaient des idées totalement oubliées par l’élite française de 1800.
Article écrit par Denis
Créateur de la Tête Haute Française, je partage mon amour de l’Histoire de France sans prétention, en essayant de la rendre amusante (même si je sais que cet humour ne sied pas à tout le monde).